| Histoire
porno - La Plage
Par
cette belle après midi de printemps, je décide
d'aller seul à la mer pour oublier le stress
de la semaine passée. Comme à mon habitude,
je remonte la plage le long des dunes, là où
les serviettes et les parasols ne sont pas les unes
sur les autres et où le maillot de bain est
une charge inutile. Je décide de m'arrêter
dans un endroit pas trop peuplé , sur ma gauche,
à une vingtaine de mètres, est installé
une famille de Hollandais avec leurs 2 enfants . Visiblement,
se sont des habitués du naturisme car nul trace
de maillot vient marquer ces corps bronzés
à tête blonde. En dessus de moi, à
quelques mètres, un couple se repose contre
la dune.
L'homme est accoudé et regarde la mer démontée.
La femme est allongée sur le ventre et semble
dormir. Le corps de cette femme me fascine , sa musculature
harmonieuse me fait penser à la silhouette
d'une tri athlète . De ma place, je vois essentiellement
les fesses bronzées de la belle et le regard
de son ami ou mari qui se rend compte que visiblement
le relief de la mer n'est pas le paysage que je préfère.
Ne voulant pas passer pour un mateur, (moi même
n'approuvant pas les hommes seuls qui viennent poser
leur serviette dans l'alignement des jambes de mon
épouse lorsqu'elle m'accompagne...) je décide
donc de regarder l'océan et les surfeurs (nombreux
dans ma région).
L'après midi se passe tranquillement jusqu'au
moment ou la famille de Hollandais quittent la plage
. Je me retourne pour regarder ce joli couple prêt
des dunes. La femme est maintenant assise, jambes
serrées , nos regards se croisent et nous échangeons
un petit signe courtois de la tête.
Elle a de long cheveux chatains clairs, je les adore
! L'homme qui est à ses cotés, fouille
dans le sac et sort une bouteille d'huile solaire ,
ma présence ne semble pas les déranger
, je décide donc de les regarder. La belle se
rallonge sur le ventre, visage dans ma direction. Lui,
délicatement, dépose une petite flaque
d'huile dans le haut du dos qui s'écoule le long
de la colonne vertébrale.
Délicatement, le garçon étale le
doux liquide sur les épaules, le dos les reins
et semble s'éterniser sur les fesses de sa femme.
La vue de se corps musclé et luisant sous le
soleil me fait transpirer plus que de nature. Je sens
le sang bouillonner sur mes tempes e t
dans mon être. Il me devient difficile de retenir
cette érection qui m'embarrasse. Le spectacle
est très agréable et rare. cette femme
que mes yeux ne lâche se tourne vers son mari
et semble lui dire quelques chose à voix basse.
A son tour l'homme me regarde, me sourit puis me fait
signe de la main de venir. " Moi ? " me dis
je surpris et commençant à me demander
si le soleil ne m'avait fait fondre un câble ,
je décide d'attendre. De nouveau cet homme me
fait signe de venir , et à part les mouettes
et les surfeurs trop occupés à attendre
'la' vague au large, je ne vois personne d'autre. Je
me lève timidement, tente de la main de cacher
cette érection grandissante, et me dirige vers
eux. Je la voyait belle, elle est divine.
"- Je te présente Anna et elle souhaiterait
que tu lui passes de l'huile sur l'autre face !"
me dit il d'un air amusé. -"Bonjour
Anna, moi c'est Christophe et je veux bien si ça
ne dérange personne... " lui dis je, ébahi
avec la tête de quelqu'un qui vient de parler
à un ange.
Elle se retourne, s'allonge sur le dos et me laisse
admirer la face cachée de cette sirène
sans écaille. Son mari me tend la bouteille,
s'agenouille en face de moi, son sexe à demi
bandé. Je remplis le creux de ma main de cette
huile au senteur d'été et pose ma main
sur le ventre plat de Anna. Sa peau est chaude de
trop de soleil , son corps est lisse et ma main glisse
sur sa chair bronzée.
Tandis qu'Anna me regarde tendrement , la tête
tournée sur le coté, ma main effleure
sa poitrine gourmande. Je recouvre de senteur ses
épaules rondes, puis ses bras . Je dépose
sur ses longues jambes, un filet d'huile que j'étale
de ses hanches jusqu'à ses pieds. Ma main glisse
entre ses jambes qui s'écarte d'elles même
et remonte le long des cuisses de Anna. La toison
noir de son pubis laisse apparaître maintenant
son sexe et ses lèvres gonflées de désir.
Mes doigts glissants disparaissent dans ses boucles
brunes et tandis que de mon pouce je découvre
son clitoris, un doigt, puis deux s'enfoncent dans
le cratère brûlant de son volcan. A la
vue de nos deux chibres dressés prêt
de son ventre, Anna empoigne le sexe de son mari puis
le mien , avec une synchronisation presque parfaite,
elle couvre et découvre nos glands gorgés
de sang .
A
la vue du corps de Anna brûlant de tous ses
orifices et de ces colonnes que les mains de la belle
animent, notre excitation arrive à son comble.
Après de longues caresses érotiques,
les doigts de Anna s'accélèrent , ses
jambes se tendent, ses cuisses se resserrent sur ma
main trempée de sa jouissance, son dos se cambre
et de sa bouche, une plainte de bonheur s'échappe
et vient se mêler aux râles que nous ne
pouvons retenir. Sous le regard curieux des rieuses
qui nous survolent, un jet de sperme, fruit de nos
orgasmes, se répand sur le ventre d'Anna jusqu'à
se confondre en une tâche blanchâtre.
Des spasmes nous animent de tout nos êtres pendant
quelques moments encore. Tandis que ses jambes se
desserrent, ses doigts humides de notre semence libèrent
nos verges apaisées .Toujours étonné
mais heureux, je regarde ce couple venu probablement
d'une autre planète et le seul mot qui me vient
en tête est "merci !". Ils se mettent
à rire et me propose d'aller se rincer et calmer
nos esprit dans les vagues.
L'eau froide de l'Atlantique sur mon corps nu et brûlant
de soleil me procure une sensation vivifiante de liberté
que seul les adeptes du naturisme connaissent.
Notre petite baignade est maintenant terminée
, je dois partir et reprendre le cours de ma vie là
où je l'ai laissé en début d'après
midi, sans chercher à comprendre, ni à
revoir cet homme pour qui le mot jalousie ne semble
rien dire, et cette femme qui d'habitude n'existe
que dans les fantasmes des hommes . Je n'emporte avec
moi que le doux souvenir de Anna et une adresse d'un
site écrit sur le sable... |
